Contenus en rapport avec le mot-clé Samuel Paty

Aussi à la Une de vos hebdos : Marianne plaint les profs, pour qui il n’y a pas eu de sursaut national depuis la mort de Samuel Paty. L’Express s’extrait du jeu de l’actualité chaude, pour saluer les visionnaires, qu’ils soient politiques ou ingénieurs. Car en France, on a bien envie comme le souligne Peggy Sastre dans Le Point, de fermer les écoutilles.

Pour la section CGT de France TV, commémorer le 7 octobre est « communautaire » et « biaisé ». Pour Télérama, réaliser un documentaire « détaillé à l’excès » sur l’assassinat de Samuel Paty « manque de neutralité ».

Dans son dernier livre, « La justice au temps du terrorisme De Charlie à Samuel Paty » aux éditions LGDJ, la chroniqueuse judiciaire Olivia Dufour revient sur près d'une décennie de procès liés au terrorisme islamiste. Malgré un manque chronique de moyens, la justice antiterroriste française s’est révélée d’une remarquable efficacité dans un contexte d’exception.

La ministre de l'Éducation Élisabeth Borne se rend ce vendredi à Conflans-Sainte-Honorine pour assister à la cérémonie de changement de nom du collège du Bois d’Aulne.

Les journalistes Laurence D’Hondt et Jean-Pierre Martin publient « Allah n’a rien à faire dans ma classe » aux éditions Racine. Ils ont enquêté sur la solitude des enseignants face à la montée de l’islamisme.

En 2020, un procès-verbal de la sous-direction antiterroriste faisait état de contacts entre Abdoullakh Anzorov et un homme tenant un « rôle dans le djihad médiatique et dans la propagande » du groupe Hayat Tahrir al-Sham.

La soeur de Samuel Paty, Mickaëlle Paty, demande à l'Etat de reconnaître sa part de responsabilité dans la mort de son frère : «Je demande à ce que l'Etat reconnaisse sa part de responsabilité et regarde les choses en face».

Près de 2.000 personnes ont rendu hommage ce dimanche à l'enseignant qui avait été assassiné en octobre 2023 par un de ses anciens élèves.

La ministre de l’Education nationale souhaite « augmenter le volume d'heures consacrées à la laïcité et aux valeurs de la République » dans la formation initiale des enseignants.

Il est permis de se poser la question à périmètre politique égal en tous cas, comme le montre le renoncement du proviseur du lycée Ravel suite à des menaces de mort

Le Sénat français vient de rendre publiques les conclusions d'une enquête parlementaire lancée à la suite de l'assassinat du professeur Samuel Paty. Les conclusions sur l'état des écoles françaises sont alarmantes et montrent que la situation ne cesse de se dégrader depuis plusieurs années.

Des peines de quatorze mois de prison avec sursis à six mois de prison ferme, aménagés sous bracelet électronique, ont été prononcées ce vendredi contre les six anciens collégiens jugés pour leur implication dans l’assassinat du professeur Samuel Paty. Derrière la mansuétude du verdict, le problème ne vient-il pas du sommet de l’Etat, de la magistrature et de l’Éducation nationale ?

Des jeunes collégiens comparaissaient devant un tribunal pour enfant de Paris pour leur implication dans l'assassinat, en 2020, du professeur Samuel Paty par un jeune djihadiste. Un autre procès, pour les adultes impliqués dans la mort de l'enseignant, est prévu fin 2024.

Les adolescents, âgés à l’époque de 14 et 15 ans, sont accusés d’avoir surveillé les abords du collège et désigné l’enseignant à l’assaillant, contre une rémunération.

Plus de 800 incidents à signaler et c’est insupportable...

Mais qu'est-ce qu’ils ont dans la tête et dans les tripes ?

Le ministre de l'Education nationale a confirmé sa grande fermeté afin de « sortir » les élèves radicalisés des établissements scolaires. Gabriel Attal était l’invité de BFMTV ce dimanche.

Au total, huit majeurs et six adolescents sont mis en cause par l’enquête sur l’assassinat du professeur d’histoire-géographie, assassiné en 2020.

Ça nous change de Pap Ndiaye.

L’enquête en cours depuis un an, visant plusieurs agents des ministères de l'Intérieur et de l'Education nationale, sera confiée à un juge d’instruction.